Les recherches sur le Cancer du sein.
Nous travaillons a ce jour avec plusieurs associations et fondations pour la recherche du cancer du sein.
Les Seins Français a fait le choix de soutenir des associations et des fondations afin de participer à soutenir une cause touchant toute les Femmes : Le Cancer du Sein.
En achetant un T-shirt vous soutenez cette cause et montrez haut et fort votre implication et votre soutient à toutes les femmes. Les Seins Français souhaite devenir le symbole de cette lutte et créer une vraie communauté.
Nous reversons aux Assosciations et Fondations
La recherche en cancérologie est très active et a
beaucoup évolué ces dernières années, notamment avec l’avènement de la médecine
de précision. Le point sur les pistes les plus prometteuses.
La médecine de
précision
Basée sur les caractéristiques
moléculaires de la tumeur, elle a le vent en poupe. Le principe est simple : pour certains types de cancers, on connait les
biomarqueurs caractéristiques de la tumeur. En les repérant systématiquement,
on peut proposer au patient le traitement, s’il existe, qui correspond
précisément à la nature de sa tumeur. Pour le cancer du sein, 4 biomarqueurs
(HER2, ER, PR, Ki67) sont déjà recherchés en routine. D’autres biomarqueurs
doivent être validés par des essais cliniques. "Nous attendons beaucoup de
la caractérisation moléculaire des tumeurs triple négatives, très
hétérogènes", souligne le Dr Véronique Diéras, chef du département de
recherche clinique à l’Institut Curie.
Les thérapies ciblées
Elles concentrent une
grande partie des recherches. C’est qu’elles présentent de nombreux avantages :
à la différence des chimiothérapies, qui s’attaquent à toutes les cellules à
division rapide de l’organisme, saines ou cancéreuses, les thérapies ciblées
bloquent plus spécifiquement les cellules tumorales.
La détection de
cellules tumorales circulantes
les cellules
cancéreuses qui se "détachent" de la tumeur et circulent dans
l’organisme avant de s’implanter sur un autre organe pour s’y développer, par
une simple prise de sang devrait permettre de mieux suivre l’évolution de
la maladie dans sa phase métastatique et ainsi d’adapter le traitement. Cette
méthode est plus rapide et moins invasive que les biopsies.
L’ADN tumoral
circulant
Elle prend également de plus en plus
d’importance et pourrait un jour devenir "l’équivalent d’une biopsie
liquide", estime le Pr Jean-Yves Pierga. Les
cellules cancéreuses, comme n’importe quelle cellule, se dégradent
naturellement au fil du temps. Ce faisant, elles laissent s’échapper une partie
de leur matériel génétique dans le sang. Si l’on parvient à identifier cet ADN
tumoral circulant, on peut affirmer qu’une tumeur cancéreuse se trouve quelque
part dans l’organisme. Cela pourrait aussi permettre de suivre l’évolution de
la masse tumorale ou de rechercher l’apparition de marqueurs de résistance au
traitement. Toute la difficulté consiste à identifier cet ADN circulant comme
tumoral. Pour ce faire, il faut repérer les anomalies génétiques typiques de la
tumeur.
Réduire les
traitements et leurs effets secondaires
Autant que possible constitue une
priorité pour les chercheurs et les soignants. Limiter le recours à la
chimiothérapie, tout en garantissant une prise en charge optimale, est sans
conteste une solution à encourager. En ce sens, les spécialistes de l’Institut
viennent de montrer l’efficacité d’un traitement basé uniquement sur
l’hormonothérapie